Liturgie pour le temp ordinaire
Pri ères final es: Pâques et son oct ave : Pâques 3 à 6: Ascen sion : Pâques 7: Pentecôte : maintenons cette prière ici à dessein. La célébration se trouve ainsi jalonnée par trois évocations de la paix du Christ: au début par le souhait de paix; au milieu par la prièr e pour la paix; en concl usi on par le voeu de paix qui précède la bén édi ction. Lit . latin e**; MR 1969, nuit et jour de Pâques, reformu lé librement par nous. Prière luthérienne; Luth Ag I 1964 (78, n° 18); prière finale traditionnelle dan s toutes les lit urgies eucharistiques luthéri ennes. Prière cop te; [EL Communion 1952 (47), du jour]. Prière ang licane; BCP 1549 [EL Communion 1952 (96)]. Librement formu lée d'apr ès Thomas d'Aqu in *; [EL Communion 1952 (49)]. Confessions de foi Le Symbole des apôtres: Symbole bap ti sma l et ca téc hét iq ue, « ré digé dan s la lan gu e du No uvea u Testame nt » (Oscar Cullmann, Les premi ères con fessions de foi chrétienn es, page 51), le Symbole des apôtre s est le développement d'une con fession de foi romain e remontan t au milieu du Il' siè cle, voire même au début, vers 100-120. Sa forme définitive dat e du IV' siècle et app araît che z Nic étas de Rémési ana *. C'est dan s le culte sans sainte cène, ainsi que dans la litu rgie baptismale qu'il a tout naturellement sa place; mais on ne saurait exclure la possibilité de l'utiliserdans un service comprenant la sainte cène, s'il est mieux connu de l'assemblée que le Symbole de Nicée. Le Symbole de Nicée-Constantinople: Confession de foi « qui prend posit ion, sur la base du Nou veau Testament, en face des problèmes nouveau x et des hérésies incon nues à l'âge apostolique » (Cul lmann, op . cit. ), le Symbole de Ni cée - Cons tant inop le est la pr in cipa le confession de foi de l'Eglise chr éti enne, la seu le qui soit commune aux Eglises d'Orient et d'Occident. Reçu au Concile de Nicée, en 325, ce Symbole trouve sa forme définiti ve au Concile de Constantinople, en 381. Il a vraisemblabl ement pou r aut eur St Cyrille de Jérusalem *. Texte bap tismal, lui aussi, à l'o rigine, il entre dan s la liturgie eucharistique au V' siècle en Orient. En Occiden t, ce n'est qu'au XI' siècle que Rome l'accueille dans la célébration dominicale. Le s Ré fo rmat eu rs se ré cl ament de ce s deu x confe ss io ns de fo i; to ut es le s con fes sions établ ies au XVI e siè cle font de même. Le Symbole dit d'Athanase (Symbo lum Quicumque) a aussi été reçu par la Réforme, mai s n'a pour ainsi dire jamais eu d'utilis ation liturgique, à l'exception d'un usage relati vement occasionnel dans la tradition anglicane. Variantes pour l'eucharistie Mémento: Pri èr e ré fo rmée ; BCO 19 40 (1 22 ) [E L Commun io n 19 52 (9 8) ], so us un e forme allégée. Prière eucharistique: Richar d Paquier * ; [EL Communion 1952 (102s), d'après un texte luthér ien, la Deutsche Messe de la Michaelsbruderschaft***, dû à Karl-Bernhard Ritter*, Die Ordnung der Messe 1950 ; sont inclus dans le texte de Paqu ier quelques él éments de l'ordre très semblable de l'Evangelisch-oekumenische Vereinigung des Augsburgischen Bekenntnisses (Friedrich Heiler*, Die deutsche Messe 1948)]. 47
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